The Harvard Business School and the Newcomen Society of the United States support a postdoctoral fellowship in business history for twelve months of residence and research at the Harvard Business School. Fellowships normally run for the academic year, July 1 to June 30; the stipend is currently $60,000.
The purpose of the award is to enable scholars who have received a Ph.D. in history, economics, or a related discipline within the past ten years to improve their professional acquaintance with business and economic history, to increase their skills as they relate to this field, and to engage in research that will benefit from the resources of the Harvard Business School and the Boston-area scholarly community. The successful applicant will participate in the school's business history courses, seminars, and case development activities.
The annual application deadline is October 1 of the year preceding the fellowship. For additional information, write to Walter A. Friedman, Rock Center 104, Harvard Business School, Boston, MA 02163. Email wfriedman@hbs.edu.
mardi 25 septembre 2007
the Hawthorne Experiments
The Human Relations Movement: Harvard Business School and the Hawthorne Experiments (1924-1933), the first in a series of exhibitions marking the Centennial of Harvard Business School, recently opened in the North Lobby of Baker Library.
The exhibit and accompanying Web site (http://www.library.hbs.edu/hc/hawthorne/ ) feature a wide array of graphs, charts, interviews, correspondence, photographs, and publications from the Library's collections including the Western Electric Hawthorne Studies Collection and the papers of Elton Mayo, Fritz Roethlisberger, and other HBS faculty members.
The exhibition catalog and Web site also include an essay by HBS Professors Michel Anteby and Rakesh Khurana on the impact of the Hawthorne Studies on management research and education today.
The Web site (http://www.library.hbs.edu/hc/hawthorne/ ) provides direct links to encoded collection finding aids and full-text of seminal works for further research.
images mobiles
On peut aussi intégrer sur ce blog des videos. Ici un film de 1903. Source : www.archive.org, en particulier le chapitre "moving images" http://www.archive.org/details/movies
La genèse de la décision (CFP)
Chiffres et entreprises : contrôle, financement et stratégie
(XIXe-XXIe siècles)
Université Paris-Dauphine/CRM-CREFIGE/Université Paris VIII-IDHE/CNRS – Université Paris XII-Institut Jean-Baptiste Say
Nicolas Praquin - Béatrice Touchelay - Philippe Verheyde
Journée d’études
8 février 2008
Orientation générale et problématique
Cette troisième journée d’études vise à stimuler les réflexions sur les relations qui s’établissent entre la décision, l’évaluation et la mesure dans les entreprises, ou d’autres formes d’organisations, privées ou publiques, de la France contemporaine.
La période retenue, des années 1800 à nos jours, correspond à l’affirmation d’un appareil statistique performant, à la systématisation de l’outil chiffré, à l’émergence et au développement d’une normalisation et d’une harmonisation comptables et à la diffusion des pratiques de gestion dont le point commun s’articule autour de la nécessité de « penser et produire le chiffre ».
Le chiffre, quel qu’il soit et d’où il émane, peut être abordé à travers ses fonctions ou finalités majeures :
- un instrument de mesure, de comptage et/ou de quantification
- un moyen pour développer la vérification interne
- un outil permettant d’anticiper, de prévoir et/ou de comparer
- un appareil au service du contrôle externe
- un outil de gestion, de légitimation et/ou de pouvoir
Sans négliger les critiques qui doivent être adressées à ces chiffres (science sans conscience…), nous formulons l’hypothèse que leur affirmation joue un rôle moteur à la fois dans l’évolution des formes de gestion des entreprises publiques et privées, mais aussi dans la mise en place d’un Etat moderne, puisqu’ils permettent à l’ensemble des décideurs de disposer d’instruments présentés comme scientifiques pour étayer leurs décisions. Ces journées permettront de discuter cette hypothèse.
Le champ couvert est très vaste puisqu’il va de l’étude des institutions produisant des statistiques publiques ou privées, à celle des outils eux-mêmes, à l’examen des motivations et de l’usage de leurs commanditaires et de leurs utilisateurs. Un tel champ, de nature historique, est propice à une approche pluridisciplinaire. Les économistes, les gestionnaires, les historiens, les juristes et les sociologues sont fortement invités à nourrir cette réflexion commune. Cette démarche pluridisciplinaire autour du chiffre doit permettre d’en souligner les enjeux politiques, sociaux et techniques.
Après les journées d’études organisées en 2006 (Université de Paris XII-Val-de-Marne : Chiffres publics, chiffres privés dans la France du XXe siècle) et en 2007 (Université de Paris VIII–Saint-Denis : Chiffres privés : construction, usage et perception), cette troisième journée se déroule le 8 février 2008 à l’Université de Paris-Dauphine.
(XIXe-XXIe siècles)
Université Paris-Dauphine/CRM-CREFIGE/Université Paris VIII-IDHE/CNRS – Université Paris XII-Institut Jean-Baptiste Say
Nicolas Praquin - Béatrice Touchelay - Philippe Verheyde
Journée d’études
8 février 2008
Orientation générale et problématique
Cette troisième journée d’études vise à stimuler les réflexions sur les relations qui s’établissent entre la décision, l’évaluation et la mesure dans les entreprises, ou d’autres formes d’organisations, privées ou publiques, de la France contemporaine.
La période retenue, des années 1800 à nos jours, correspond à l’affirmation d’un appareil statistique performant, à la systématisation de l’outil chiffré, à l’émergence et au développement d’une normalisation et d’une harmonisation comptables et à la diffusion des pratiques de gestion dont le point commun s’articule autour de la nécessité de « penser et produire le chiffre ».
Le chiffre, quel qu’il soit et d’où il émane, peut être abordé à travers ses fonctions ou finalités majeures :
- un instrument de mesure, de comptage et/ou de quantification
- un moyen pour développer la vérification interne
- un outil permettant d’anticiper, de prévoir et/ou de comparer
- un appareil au service du contrôle externe
- un outil de gestion, de légitimation et/ou de pouvoir
Sans négliger les critiques qui doivent être adressées à ces chiffres (science sans conscience…), nous formulons l’hypothèse que leur affirmation joue un rôle moteur à la fois dans l’évolution des formes de gestion des entreprises publiques et privées, mais aussi dans la mise en place d’un Etat moderne, puisqu’ils permettent à l’ensemble des décideurs de disposer d’instruments présentés comme scientifiques pour étayer leurs décisions. Ces journées permettront de discuter cette hypothèse.
Le champ couvert est très vaste puisqu’il va de l’étude des institutions produisant des statistiques publiques ou privées, à celle des outils eux-mêmes, à l’examen des motivations et de l’usage de leurs commanditaires et de leurs utilisateurs. Un tel champ, de nature historique, est propice à une approche pluridisciplinaire. Les économistes, les gestionnaires, les historiens, les juristes et les sociologues sont fortement invités à nourrir cette réflexion commune. Cette démarche pluridisciplinaire autour du chiffre doit permettre d’en souligner les enjeux politiques, sociaux et techniques.
Après les journées d’études organisées en 2006 (Université de Paris XII-Val-de-Marne : Chiffres publics, chiffres privés dans la France du XXe siècle) et en 2007 (Université de Paris VIII–Saint-Denis : Chiffres privés : construction, usage et perception), cette troisième journée se déroule le 8 février 2008 à l’Université de Paris-Dauphine.
Liste de revues du CNRS section 37
Voici un lien vers la liste actuelle servant à l'évaluation des chercheurs en gestion
http://hp.idefi.cnrs.fr/marty/comnat/revues.pdf
Traduction vers l'anglais
Les coordonnées du traducteurs que j'utilise en Inde sont les suivantes Mr Yann Pitchal, son adresse : wordpro(AT)auromail.net
lundi 24 septembre 2007
Une tentative
Chers amis
A la suite de notre réunion du 24 septembre. Je me suis permis cette initiative. Ce n'est qu'un essai. Merci de donner votre sentiment et d'alimenter la chose.
Ludovic Cailluet
A la suite de notre réunion du 24 septembre. Je me suis permis cette initiative. Ce n'est qu'un essai. Merci de donner votre sentiment et d'alimenter la chose.
Ludovic Cailluet
Les Corps Intermédiaires économiques : entre l’État et le marché (CFP)
APPEL À COMMUNICATIONS
Les Corps Intermédiaires économiques : entre l’État et le marché
Université de Limoges, Centre de recherche historique de l’Université de Limoges (CERHILIM E.A. 3840)
23-24 octobre 2008
Description :
Avec la suppression des Corporations en 1791, un coup fatal semble être porté aux « corps intermédiaires ». De plus, les lois sur les associations et les corporations au cours du XIXe siècle puis de la période de Vichy, ont successivement postulé l’absence de « corps intermédiaires » en France, et rendu incompatibles le corporatisme et la République.
Ainsi que le soulignent Alain Chatriot et Claire Lemercier dans leur article « Les corps intermédiaires » dans A. Duclert et C. Prochasson, Dictionnaire critique de la République, Paris, Flammarion, 2002, (pp. 691-697), un monde institutionnel changeant et en général discret, naît de cette tension entre République et corps intermédiaires. Dès les premières décennies du XIXe s, la société civile ou certaines de ses fractions, aspirent à s’organiser et à peser sur les décisions de l’État « jacobin » alors que ce dernier et les collectivités locales, ne peuvent ni tout faire, ni tout savoir. Parmi ces institutions, les Chambres syndicales, les syndicats, les associations, les Chambres de commerce et d’industrie, puis d’agriculture et de métiers, les tribunaux de commerce, les Conseils de prud’hommes, constituent un monde mal connu.
Les journées organisées par l’équipe d’accueil du CERHILIM en cette année du 150ème anniversaire de la Chambre de commerce de Limoges, se proposent d’examiner aux échelles régionale et nationale, quelques-unes des nouvelles formes institutionnelles économiques et sociales qui se reconstruisent à partir du XIXe siècle autour du Commerce et de l’Industrie. Elles ambitionnent de faire le point sur des recherches sur ces thèmes qui se multiplient en France depuis quelques années.
1. Approche institutionnelle et sociale :
Dans un premier moment, des analyses associant plusieurs périodes historiques envisageront comment s’opère le passage des formes d’Ancien Régime aux formes contemporaines de corps intermédiaires, en particulier celles régissant l’organisation du commerce et des métiers, ainsi que la justice consulaire ou encore les rapports entre patrons et employés. Les origines et les parcours des élites présentes dans les nouvelles institutions seront à interroger.
2. Aspects organisationnels et activités :
Les modalités d’organisation et d’action des commerçants, industriels, banquiers autour des Chambres de commerce, des Chambres des métiers, de syndicats patronaux dans quelques secteurs, ainsi qu’à l’échelle de la Région Économique qui se met en place au lendemain de la 1ère Guerre Mondiale, constitueront le deuxième axe de ces journées. Une attention particulière sera portée aux liens entre les échelles locale, régionale et nationale, voire internationale lorsqu’ils existent.
3. Circulations et échanges à partir des XVIIe et XVIIIe siècles :
Les institutions économiques locales ont montré beaucoup de détermination afin de convaincre les gouvernants et les bureaux parisiens du bien fondé de leurs demandes en matière de routes, de chemin de fer, et depuis quelques années d’autoroutes et de liaisons aériennes. Un dernier temps des journées placera dans une perspective historique longue et transdisciplinaire ces débats, y compris les plus actuels à l’échelle régionale. Une table ronde réunissant des acteurs économiques et politiques locaux sera organisée sur ce thème.
Organisateurs :
Clotilde Druelle-Korn, Maître de Conférences, Histoire Contemporaine, Limoges
Paul D’Hollander, Professeur, Histoire Contemporaine, Limoges
Michel Cassan, Professeur, Histoire Moderne, Limoges
Comité Scientifique :
Patrice Corbin, Conseiller maître à la Cour des Comptes, Paris.
Danièle Fraboulet-Rousselier, Professeur, Histoire Contemporaine, Université Paris XIII.
Patrick Fridenson, Directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris.
Claire Lemercier, Chargée de recherches au C.N.R.S., Paris.
Michel Margairaz, Professeur, Histoire Contemporaine, Université Paris VIII.
Une publication rapide des actes est prévue à l’issue des journées.
Les propositions de communication sous la forme d’un texte de 2500 signes environ accompagné d’un titre sont à adresser avant le 30 octobre 2007.
Contact :
clotilde.druelle-korn@unilim.fr
Université de Limoges, Faculté des Lettres et des Sciences Humaines
Département d’Histoire – CERHILIM E.A 3840
35 E rue Camille Guérin - 87036 LIMOGES CEDEX
Tél : 05 55 43 56 00
Les Corps Intermédiaires économiques : entre l’État et le marché
Université de Limoges, Centre de recherche historique de l’Université de Limoges (CERHILIM E.A. 3840)
23-24 octobre 2008
Description :
Avec la suppression des Corporations en 1791, un coup fatal semble être porté aux « corps intermédiaires ». De plus, les lois sur les associations et les corporations au cours du XIXe siècle puis de la période de Vichy, ont successivement postulé l’absence de « corps intermédiaires » en France, et rendu incompatibles le corporatisme et la République.
Ainsi que le soulignent Alain Chatriot et Claire Lemercier dans leur article « Les corps intermédiaires » dans A. Duclert et C. Prochasson, Dictionnaire critique de la République, Paris, Flammarion, 2002, (pp. 691-697), un monde institutionnel changeant et en général discret, naît de cette tension entre République et corps intermédiaires. Dès les premières décennies du XIXe s, la société civile ou certaines de ses fractions, aspirent à s’organiser et à peser sur les décisions de l’État « jacobin » alors que ce dernier et les collectivités locales, ne peuvent ni tout faire, ni tout savoir. Parmi ces institutions, les Chambres syndicales, les syndicats, les associations, les Chambres de commerce et d’industrie, puis d’agriculture et de métiers, les tribunaux de commerce, les Conseils de prud’hommes, constituent un monde mal connu.
Les journées organisées par l’équipe d’accueil du CERHILIM en cette année du 150ème anniversaire de la Chambre de commerce de Limoges, se proposent d’examiner aux échelles régionale et nationale, quelques-unes des nouvelles formes institutionnelles économiques et sociales qui se reconstruisent à partir du XIXe siècle autour du Commerce et de l’Industrie. Elles ambitionnent de faire le point sur des recherches sur ces thèmes qui se multiplient en France depuis quelques années.
1. Approche institutionnelle et sociale :
Dans un premier moment, des analyses associant plusieurs périodes historiques envisageront comment s’opère le passage des formes d’Ancien Régime aux formes contemporaines de corps intermédiaires, en particulier celles régissant l’organisation du commerce et des métiers, ainsi que la justice consulaire ou encore les rapports entre patrons et employés. Les origines et les parcours des élites présentes dans les nouvelles institutions seront à interroger.
2. Aspects organisationnels et activités :
Les modalités d’organisation et d’action des commerçants, industriels, banquiers autour des Chambres de commerce, des Chambres des métiers, de syndicats patronaux dans quelques secteurs, ainsi qu’à l’échelle de la Région Économique qui se met en place au lendemain de la 1ère Guerre Mondiale, constitueront le deuxième axe de ces journées. Une attention particulière sera portée aux liens entre les échelles locale, régionale et nationale, voire internationale lorsqu’ils existent.
3. Circulations et échanges à partir des XVIIe et XVIIIe siècles :
Les institutions économiques locales ont montré beaucoup de détermination afin de convaincre les gouvernants et les bureaux parisiens du bien fondé de leurs demandes en matière de routes, de chemin de fer, et depuis quelques années d’autoroutes et de liaisons aériennes. Un dernier temps des journées placera dans une perspective historique longue et transdisciplinaire ces débats, y compris les plus actuels à l’échelle régionale. Une table ronde réunissant des acteurs économiques et politiques locaux sera organisée sur ce thème.
Organisateurs :
Clotilde Druelle-Korn, Maître de Conférences, Histoire Contemporaine, Limoges
Paul D’Hollander, Professeur, Histoire Contemporaine, Limoges
Michel Cassan, Professeur, Histoire Moderne, Limoges
Comité Scientifique :
Patrice Corbin, Conseiller maître à la Cour des Comptes, Paris.
Danièle Fraboulet-Rousselier, Professeur, Histoire Contemporaine, Université Paris XIII.
Patrick Fridenson, Directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, Paris.
Claire Lemercier, Chargée de recherches au C.N.R.S., Paris.
Michel Margairaz, Professeur, Histoire Contemporaine, Université Paris VIII.
Une publication rapide des actes est prévue à l’issue des journées.
Les propositions de communication sous la forme d’un texte de 2500 signes environ accompagné d’un titre sont à adresser avant le 30 octobre 2007.
Contact :
clotilde.druelle-korn@unilim.fr
Université de Limoges, Faculté des Lettres et des Sciences Humaines
Département d’Histoire – CERHILIM E.A 3840
35 E rue Camille Guérin - 87036 LIMOGES CEDEX
Tél : 05 55 43 56 00
EBHA Summer school (past CALL FOR APPLICATIONS)
4th EBHA DOCTORAL SUMMER SCHOOL
WRITING, PRESENTING, PUBLISHING: HOW TO MAKE THE BEST USE OF YOUR OWN RESEARCH.
The 4th edition of the EBHA (European Business History Association) Summer School will take place in Italy from September 5th to September 11th, 2007.
The school aims at providing doctoral students with an overview of relevant research results and of innovative tools and methodologies in the field of Business History. It is organised jointly by the European Business History Association (EBHA), the Istituto per la Cultura e la Storia d’Impresa Franco Momigliano (ICSIM) of Terni and the Italian Association for Business History (ASSI).
Students will spend the week in an Italian villa in the beautiful hills of Umbria (location: Villalago di Piediluco- Terni – approximately one hour from Rome by train) debating and discussing their research with leading international scholars .
The title of the school will be Writing, Presenting, Publishing: How to make the best use of your own research. The school will focus on theoretical, methodological and practical issues which are of relevance for advanced research in business history. In this edition, special attention will be put on the issue of making the best use of a research project, in terms of writing and argumentation, presentation at conferences, publication in academic journals. In the mornings, invited scholars will give lectures and seminars on specific topics. In the afternoons, students have a chance to present their own research project and or preliminary findings. On Sunday, an excursion to visit the region will be organized.
The organisers will cover all local costs (accommodation and food), but participants are expected to pay their own travel to and from Terni. Participation will be limited to 15-20 PhD students.
Those interested in attending the summer school should send the following documents by e-mail to the academic organisers Prof. Andrea Colli (andrea.colli@uni-bocconi.it) and Dr. Francesca Polese (francesca.polese@unibocconi.it):
1.) a half-page CV;
2.) a summary of their dissertation project, not exceeding three pages;
3.) (if possible) an example of their work in progress, e.g. a draft chapter or a working paper (in any language).
The new deadline for applications is May 1st, 2007. A maximum of 20 participants will be selected from these applications and will be notified before the end of May
WRITING, PRESENTING, PUBLISHING: HOW TO MAKE THE BEST USE OF YOUR OWN RESEARCH.
The 4th edition of the EBHA (European Business History Association) Summer School will take place in Italy from September 5th to September 11th, 2007.
The school aims at providing doctoral students with an overview of relevant research results and of innovative tools and methodologies in the field of Business History. It is organised jointly by the European Business History Association (EBHA), the Istituto per la Cultura e la Storia d’Impresa Franco Momigliano (ICSIM) of Terni and the Italian Association for Business History (ASSI).
Students will spend the week in an Italian villa in the beautiful hills of Umbria (location: Villalago di Piediluco- Terni – approximately one hour from Rome by train) debating and discussing their research with leading international scholars .
The title of the school will be Writing, Presenting, Publishing: How to make the best use of your own research. The school will focus on theoretical, methodological and practical issues which are of relevance for advanced research in business history. In this edition, special attention will be put on the issue of making the best use of a research project, in terms of writing and argumentation, presentation at conferences, publication in academic journals. In the mornings, invited scholars will give lectures and seminars on specific topics. In the afternoons, students have a chance to present their own research project and or preliminary findings. On Sunday, an excursion to visit the region will be organized.
The organisers will cover all local costs (accommodation and food), but participants are expected to pay their own travel to and from Terni. Participation will be limited to 15-20 PhD students.
Those interested in attending the summer school should send the following documents by e-mail to the academic organisers Prof. Andrea Colli (andrea.colli@uni-bocconi.it) and Dr. Francesca Polese (francesca.polese@unibocconi.it):
1.) a half-page CV;
2.) a summary of their dissertation project, not exceeding three pages;
3.) (if possible) an example of their work in progress, e.g. a draft chapter or a working paper (in any language).
The new deadline for applications is May 1st, 2007. A maximum of 20 participants will be selected from these applications and will be notified before the end of May
Project abstract
Scientific background and objectives
Description of project, methodology
Expected results
The following proposal « Business administration : private practices, public challenges – A historical perspective » was born from the observation that the general expansion of management and its methods in society are often challenged but have been more rarely researched by historians and management scholars altogether.
Business administration and its methods have expanded since the 19th century to pervade almost all organisations. Their development have gone beyond the private sector to government agencies, NGOs and foundations. While penetrating all types of organisation business administration has destroyed traditional boundaries between government and the private sector. Acquiring a new dimension far beyond functionality and business administration raises new issues in society. The question asked by pervasive business administration practices and systems are not only organisational or economic but political and societal ones. Such a phenomenon deserves a genealogy and a history.
The project ambition is to study the origins, apparition and the development of management practices, tools and systems that are far from being universal. Progressing from macro to micro, it is divided in three sections.
- « Private administration, public domain » studies management techniques development from the 19th century. Using a systemic approach it is concerned with corporate decision support techniques.
- « Managerial programmes » is looking at very current issues from a historical perspective. Using a set of widespread management themes, its aim is to understand their roots as to build a theory of their emergence. Four case studies will be studied in detail in that section: corporate governance, corporate social responsibility, oursourcing and knowledge management.
- « Managerial devices » is analysing the conditions of the emergence, diffusion and international transfer of more specific business administration practices/tools: strategic planning and management scorecard (tableau de bord).
The MPPEP project is coherent with a long tradition of international cooperation between history and business administration scholars. In France, this fruitful interdisciplinary work has however remained relatively unstructured to date. Using MPEEP as a backbone, the researchers will be able to reinforce and develop transfers between history and business administration scholars in terms of methods, data and knowledge diffusion.
To question the condition of emergence and the origins of management practices is indeed very valuable for management scholars. For a long time they have considered management tools, systems and practices as « natural » elements (data). But there is no data without past and management systems are heavily socially constructed and contextualised. A history of management tools and practices offers a sophisticated analytical framework to understand the phenomenon. Putting the roots of management tools in their national economical, political and sociological context and moreover looking at their evolution and their international transfer and adaptation provide a powerful way to understand their influence in today’s society.
Exploiting primary archival sources and using historical methodology, MPEEP has a triple objective:
• Structuring the research in management history as to capitalize and diffuse new knowledge;
• Identifying places and conditions of management practices emergence as to evaluate the pertinence of their current use;
• Building a theory of the emergence and diffusion of management tools, systems and practices.
The results of the research will be published in three separate edited volumes. The first one will be a multidisciplinary inventory of authors, practices and places where appear management methods changes. The second volume will be focused on corporate governance given the homogeneity of the topic. It will be based on an in-depth case study of the Crédit Lyonnais bank. The last volume will deal with the theory of the emergence and diffusion of business administration tools and practices.
In addition, participants are expected to publish papers in academic journals using partial results obtained during the project. As an example, a special issue of Long Range Planning on the contextualisation of strategy will be co-edited by two participants of the project in 2008.
Description of project, methodology
Expected results
The following proposal « Business administration : private practices, public challenges – A historical perspective » was born from the observation that the general expansion of management and its methods in society are often challenged but have been more rarely researched by historians and management scholars altogether.
Business administration and its methods have expanded since the 19th century to pervade almost all organisations. Their development have gone beyond the private sector to government agencies, NGOs and foundations. While penetrating all types of organisation business administration has destroyed traditional boundaries between government and the private sector. Acquiring a new dimension far beyond functionality and business administration raises new issues in society. The question asked by pervasive business administration practices and systems are not only organisational or economic but political and societal ones. Such a phenomenon deserves a genealogy and a history.
The project ambition is to study the origins, apparition and the development of management practices, tools and systems that are far from being universal. Progressing from macro to micro, it is divided in three sections.
- « Private administration, public domain » studies management techniques development from the 19th century. Using a systemic approach it is concerned with corporate decision support techniques.
- « Managerial programmes » is looking at very current issues from a historical perspective. Using a set of widespread management themes, its aim is to understand their roots as to build a theory of their emergence. Four case studies will be studied in detail in that section: corporate governance, corporate social responsibility, oursourcing and knowledge management.
- « Managerial devices » is analysing the conditions of the emergence, diffusion and international transfer of more specific business administration practices/tools: strategic planning and management scorecard (tableau de bord).
The MPPEP project is coherent with a long tradition of international cooperation between history and business administration scholars. In France, this fruitful interdisciplinary work has however remained relatively unstructured to date. Using MPEEP as a backbone, the researchers will be able to reinforce and develop transfers between history and business administration scholars in terms of methods, data and knowledge diffusion.
To question the condition of emergence and the origins of management practices is indeed very valuable for management scholars. For a long time they have considered management tools, systems and practices as « natural » elements (data). But there is no data without past and management systems are heavily socially constructed and contextualised. A history of management tools and practices offers a sophisticated analytical framework to understand the phenomenon. Putting the roots of management tools in their national economical, political and sociological context and moreover looking at their evolution and their international transfer and adaptation provide a powerful way to understand their influence in today’s society.
Exploiting primary archival sources and using historical methodology, MPEEP has a triple objective:
• Structuring the research in management history as to capitalize and diffuse new knowledge;
• Identifying places and conditions of management practices emergence as to evaluate the pertinence of their current use;
• Building a theory of the emergence and diffusion of management tools, systems and practices.
The results of the research will be published in three separate edited volumes. The first one will be a multidisciplinary inventory of authors, practices and places where appear management methods changes. The second volume will be focused on corporate governance given the homogeneity of the topic. It will be based on an in-depth case study of the Crédit Lyonnais bank. The last volume will deal with the theory of the emergence and diffusion of business administration tools and practices.
In addition, participants are expected to publish papers in academic journals using partial results obtained during the project. As an example, a special issue of Long Range Planning on the contextualisation of strategy will be co-edited by two participants of the project in 2008.
Résumé du projet
Le projet « Management : pratiques privées, enjeux publics – Une mise en perspective historique » (MPPEP) est lié à un constat général d’expansion du management et de ses méthodes :
- entre des zones géographiques distinctes, les modèles nationaux étant exposés à l’influence plus ou moins forte de modèles étrangers;
- entre des entreprises de différentes natures : secteur économique, taille, …
- au-delà des entreprises : administrations publiques, associations, ONG, etc.
Le management et ses méthodes se sont en effet diffusés au-delà de leurs frontières traditionnelles. Des pratiques traditionnellement privées acquièrent ainsi une dimension nouvelle porteuse d’enjeux publics de nature économique mais aussi sociale ou politique. Ce phénomène mérite d’être étudié selon une perspective historique car il s’enracine dans un passé déjà riche. Le management et ses méthodes se sont ainsi historiquement diffusés entre les entreprises, les pays ou les secteurs. A l’inverse, les entreprises sont aussi influencées par des pratiques extérieures, publiques, associatives, etc.
Dans le cadre de ce jeu d’influences croisées, l’objectif du projet MPPEP est d’étudier historiquement des pratiques et des dispositifs de gestion ainsi que leur contexte historique d’apparition et d’évolution. C’est pourquoi, trois grands « chantiers » seront ouverts du macro vers le micro :
- le premier (« Gestion privée, domaine public ») pour inscrire les grandes politiques de management des entreprises ou des organisations dans une perspective historique (période contemporaine) et à une échelle « macro ». Il envisage une approche globale du sujet. Il s’intéresse à l’évolution des méthodes ou des techniques qui conduisent à la décision dans l’entreprise depuis le XIXe siècle.
- le deuxième (« Programmes managériaux ») pour étudier des pratiques et des problématiques très actuelles selon une perspective historique afin de mieux en comprendre les racines et les enjeux. Quatre thèmes sont ici envisagés : la gouvernance, la responsabilité sociétale de l’entreprise, l’externalisation, et la gestion de la connaissance (dite aussi knowledge management).
- le troisième (« Dispositifs managériaux ») pour analyser les conditions d’émergence et de diffusion de dispositifs plus spécifiques : la planification stratégique et les tableaux de bord de gestion.
Le projet MPPEP s’inscrit dans un contexte de relations anciennes entre l’histoire et la gestion. Histoire et sciences de gestion coopèrent depuis de nombreuses années au sein d’un réseau international de chercheurs. Cette collaboration transdisciplinaire fructueuse mérite d’être poursuivie au sein d’un programme structuré ayant pour principaux objectifs d’organiser ce collectif autour d’un projet précis, de consolider les passerelles existantes entre l’histoire et la gestion, de contribuer à une meilleure capitalisation des connaissances et de permettre la diffusion de ces connaissances.
Le recours à l’histoire constituera ainsi un détour utile. En effet, le propre de l’histoire est de questionner et de chercher les origines de ce que beaucoup considèrent comme des évidences et des données – data. Partant du principe qu’il n’existe aucun data sans passé, l’histoire des méthodes de gestion permettra de comprendre quels ont été les contextes au sens large (économique mais aussi social et politique) dans lesquels elles ont vu le jour, à quelles fins elles ont été conçues et, enfin, quelles évolutions les ont affectées au cours du temps.
Fondé sur la méthode historique et l’exploitation de fonds d’archives (anciens et nouveaux), le projet MPPEP a pour ambition de produire des résultats originaux autour de trois thématiques :
- Structurer la recherche autour de ce thème afin de capitaliser ses résultats et de diffuser des connaissances nouvelles ;
- Identifier les lieux et les conditions d’émergence des dispositifs de gestion afin d’évaluer la pertinence des usages contemporains.
- Esquisser une théorie de l’émergence et de la diffusion des dispositifs et programmes de gestion.
Concrètement, le projet MPPEP permettra de réaliser trois ouvrages collectifs : l’un sur l’inventaire pluridisciplinaire des auteurs, des pratiques et aussi des lieux où apparaissent les changements des méthodes du management. Le deuxième sur la gouvernance, compte tenu de l’intérêt du sujet et de l’homogénéité de l’enquête historique envisagée (le Crédit Lyonnais). Le troisième, plus théorique, sur l’émergence et de la diffusion des dispositifs et programmes de gestion. Par ailleurs, des articles dans des revues françaises et internationales constitueront aussi une production attendue de MPPEP. Enfin, une meilleure connaissance des sources d’archives et de la documentation historique constitue aussi un résultat attendu du projet.
- entre des zones géographiques distinctes, les modèles nationaux étant exposés à l’influence plus ou moins forte de modèles étrangers;
- entre des entreprises de différentes natures : secteur économique, taille, …
- au-delà des entreprises : administrations publiques, associations, ONG, etc.
Le management et ses méthodes se sont en effet diffusés au-delà de leurs frontières traditionnelles. Des pratiques traditionnellement privées acquièrent ainsi une dimension nouvelle porteuse d’enjeux publics de nature économique mais aussi sociale ou politique. Ce phénomène mérite d’être étudié selon une perspective historique car il s’enracine dans un passé déjà riche. Le management et ses méthodes se sont ainsi historiquement diffusés entre les entreprises, les pays ou les secteurs. A l’inverse, les entreprises sont aussi influencées par des pratiques extérieures, publiques, associatives, etc.
Dans le cadre de ce jeu d’influences croisées, l’objectif du projet MPPEP est d’étudier historiquement des pratiques et des dispositifs de gestion ainsi que leur contexte historique d’apparition et d’évolution. C’est pourquoi, trois grands « chantiers » seront ouverts du macro vers le micro :
- le premier (« Gestion privée, domaine public ») pour inscrire les grandes politiques de management des entreprises ou des organisations dans une perspective historique (période contemporaine) et à une échelle « macro ». Il envisage une approche globale du sujet. Il s’intéresse à l’évolution des méthodes ou des techniques qui conduisent à la décision dans l’entreprise depuis le XIXe siècle.
- le deuxième (« Programmes managériaux ») pour étudier des pratiques et des problématiques très actuelles selon une perspective historique afin de mieux en comprendre les racines et les enjeux. Quatre thèmes sont ici envisagés : la gouvernance, la responsabilité sociétale de l’entreprise, l’externalisation, et la gestion de la connaissance (dite aussi knowledge management).
- le troisième (« Dispositifs managériaux ») pour analyser les conditions d’émergence et de diffusion de dispositifs plus spécifiques : la planification stratégique et les tableaux de bord de gestion.
Le projet MPPEP s’inscrit dans un contexte de relations anciennes entre l’histoire et la gestion. Histoire et sciences de gestion coopèrent depuis de nombreuses années au sein d’un réseau international de chercheurs. Cette collaboration transdisciplinaire fructueuse mérite d’être poursuivie au sein d’un programme structuré ayant pour principaux objectifs d’organiser ce collectif autour d’un projet précis, de consolider les passerelles existantes entre l’histoire et la gestion, de contribuer à une meilleure capitalisation des connaissances et de permettre la diffusion de ces connaissances.
Le recours à l’histoire constituera ainsi un détour utile. En effet, le propre de l’histoire est de questionner et de chercher les origines de ce que beaucoup considèrent comme des évidences et des données – data. Partant du principe qu’il n’existe aucun data sans passé, l’histoire des méthodes de gestion permettra de comprendre quels ont été les contextes au sens large (économique mais aussi social et politique) dans lesquels elles ont vu le jour, à quelles fins elles ont été conçues et, enfin, quelles évolutions les ont affectées au cours du temps.
Fondé sur la méthode historique et l’exploitation de fonds d’archives (anciens et nouveaux), le projet MPPEP a pour ambition de produire des résultats originaux autour de trois thématiques :
- Structurer la recherche autour de ce thème afin de capitaliser ses résultats et de diffuser des connaissances nouvelles ;
- Identifier les lieux et les conditions d’émergence des dispositifs de gestion afin d’évaluer la pertinence des usages contemporains.
- Esquisser une théorie de l’émergence et de la diffusion des dispositifs et programmes de gestion.
Concrètement, le projet MPPEP permettra de réaliser trois ouvrages collectifs : l’un sur l’inventaire pluridisciplinaire des auteurs, des pratiques et aussi des lieux où apparaissent les changements des méthodes du management. Le deuxième sur la gouvernance, compte tenu de l’intérêt du sujet et de l’homogénéité de l’enquête historique envisagée (le Crédit Lyonnais). Le troisième, plus théorique, sur l’émergence et de la diffusion des dispositifs et programmes de gestion. Par ailleurs, des articles dans des revues françaises et internationales constitueront aussi une production attendue de MPPEP. Enfin, une meilleure connaissance des sources d’archives et de la documentation historique constitue aussi un résultat attendu du projet.
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